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Association pour la Connaissance de la Culture Historique Littéraire & Artistique


L'association

Conférences d’Histoire des religions – UTL Créon – cycle 2022-23

  • Sujet traité : La préhistoire des religions
  • Lieu : Salle municipale de Croignon
  • Modalités : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
    Pour toute information, contactez www.utlcreon.org ou 05 56 30 48 39
  • Horaires : de 14:00 à 15:30
  • Intervenant : Olivier OBERSON

Agenda des conférences

Conférence

le vendredi 14 octobre 2022, de 14:00 à 15:30

Comportements religieux au Paléolithique. L’exemple des sites de Sima de los Huesos (Espagne) et du Djebel Qafzeh (Israël)

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
    Pour toute information, contactez www.utlcreon.org ou 05 56 30 48 39

Conférence

le vendredi 18 novembre 2022, de 14:00 à 15:30

Les « Vénus préhistoriques », signes patents de la sacralité féminine

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
    Pour toute information, contactez www.utlcreon.org ou 05 56 30 48 39

Conférence

le vendredi 16 décembre 2022, de 14:00 à 15:30

Les premiers sanctuaires de l’humanité. L’exemple de Dolni Vestonice en Moravie et de Mal’ta en Sibérie centrale

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
    Pour toute information, contactez www.utlcreon.org ou 05 56 30 48 39

Conférence

le vendredi 13 janvier 2023, de 14:00 à 15:30

Mânisme, animisme, chamanisme, formes primitives de la religion ?

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
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Conférence

le vendredi 24 février 2023, de 14:00 à 15:30

A propos de quelques pratiques et croyances religieuses au Mésolithique (-12000 à -7000 ans) : les masques en bois de cerf

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
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Conférence

le vendredi 17 mars 2023, de 14:00 à 15:30

Les plus anciens temples de l’humanité : Göbekli Tepe (Turquie) ; Jerf el-Ahmar (Syrie) ; Aïn Ghazal (Jordanie) ; temples mégalithiques de l’île de Malte

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
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Conférence

le vendredi 28 avril 2023, de 14:00 à 15:30

La naissance des divinités et la question de l’anthropomorphisation des dieux

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

    Le vendredi à 14h Salle municipale de Croignon
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Conférence

le vendredi 12 mai 2023, de 14:00 à 15:30

Les tendances à la monolâtrie et à l’hénothéisme dans les religions polythéistes de Mésopotamie et d’Egypte

  • Modalités de participation : Il y a longtemps que l’homme anatomiquement moderne (désormais âgé de 300 000 ans – Jebel Irhoud, Maroc) a développé une forme de pensée symbolique. André Leroi-Gourhan observait déjà à propos de l’homme de Néandertal : “si la perception de l’insolite par les Paléanthropiens est une étape essentielle, la figuration symbolique est le signe décisif de l’accession aux valeurs abstraites”. Très tôt, des pratiques ont été mises en œuvre pour établir un lien avec un au-delà peuplé d’ancêtres et d’esprits animaux. Des valeurs religieuses se traduisent dans les expressions plastiques, tout à la fois porteuses de croyances et manifestations rituelles, telles les empreintes de mains laissées sur les parois des grottes. Elles rendent compte des manières de concevoir le monde et garantissent l’aide des forces invisibles. Si, en l’absence de sources écrites, les preuves d’une religion préhistorique (entendue comme un ensemble de « préoccupations paraissant dépasser l’ordre matériel ») sont difficiles à révéler, l’archéologie et l’anthropologie ouvrent désormais la voie à une meilleure perception de la dimension sacrée chez les Préhistoriques. La société humaine s’appuyant sur l’interaction entre deux sphères symboliques, le social et le mythique, la connaissance de cette dimension est essentielle pour comprendre les religions historiques.

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